Le Gouvernement Britannique A Refusé De Reconnaître L'Existence D'Un « Génocide » Au Xinjiang Et D'Interdire L'Importation De Coton Au Xinjiang.

En juillet, la Commission des affaires étrangères de la Chambre basse du Parlement britannique a publié un rapport sur la situation des droits de l'homme au Xinjiang, qui contenait 36 recommandations, selon le Global Times.La Commission a récemment publié une réponse de l'administration Johnson disant que les autorités n'acceptent pas que le Parlement définisse la situation des droits de l'homme au Xinjiang comme un « génocide » et s'opposent à un certain nombre de propositions.

Le Gouvernement britannique a rejeté la proposition du Parlement de définir la situation des droits de l'homme au Xinjiang comme un « génocide » et a rejeté l'interdiction d'importer du coton du Xinjiang, réaffirmant que les questions pertinentes devaient être soumises à l'arbitrage international.

Le Gouvernement britannique a déclaré qu'il n'avait pas l'intention d'interdire les importations des produits chinois concernés, mais qu'il travaillerait avec des partenaires internationaux pour s'assurer que la chaîne d'approvisionnement n'impliquait pas de « travail forcé ».
Chris Devonshire - Ellis, fondateur de l'American Cooperative Management Consulting Company, a écrit sur le « Silk Road Briefing » le 15 octobre, sous ce titre: « J'ai visité le Xinjiang plusieurs fois et j'ose dire que la grande majorité des Ouïghours sont en paix. Le problème est qu'il y a du terrorisme transfrontalier (local) - il faut dire que c'est en partie par les États - Unis et l'OTAN (y compris le Royaume - Uni).Certains membres de la Commission des affaires étrangères de la Chambre des communes du Royaume - Uni ont adopté une attitude extrêmement partiale et n'ont pas tenu compte de la situation de la Chine au Xinjiang.

Le porte - parole de l'ambassade a souligné que le soi - disant « génocide » commis par la Chine contre les Ouïghours du Xinjiang et d'autres groupes ethniques était un grand mensonge en violation du droit international et une grande calomnie contre les réalisations du Xinjiang en matière de développement et la politique de la Chine en matière de relations avec Le Xinjiang.